Les femmes souhaitant créer leur société ont deux fois plus de risques que les hommes de se voir refuser un prêt. Ce dur constat provient d'une étude nationale confiée par l'Association pour le droit à l'initiative économique (Adie) au groupe Egae. Une étude qui met aussi en lumière les freins à l'entrepreneuriat féminin. Pour faire tomber ces barrières, l'Adie organise des événements jusqu'à vendredi, notamment un atelier ludique, gratuit et ouvert à toutes, vendredi 3 juin, dans ses locaux orléanais. Fondée en 1988, l'Adie propose des microcrédits. Elle défend l'idée que chacun, sans capital, sans diplôme, sans connaître la langue française, peut devenir entrepreneur s'il a accès au crédit et à un accompagnement professionnel. Elle apporte un suivi personnalisé et gratuit pour chaque projet et finance tout type d'activité. Le total du prêt est limité à 10. 000 euros, avec une durée de remboursement de six à trente-six mois. Le taux d'intérêt est de 7, 45%, quels que soient le montant et la durée du crédit.
D'autres freins existent, comme le manque de confiance en soi, l'absence de soutien de l'entourage, le sexisme... "Beaucoup de femmes souffrent d'un syndrome de l'imposteur. Elles ne se sentent pas légitimes, se disent que les hommes sont plus aptes à entreprendre, qu'elles n'ont ni l'éducation, ni le tempérament pour le faire. Or, c'est faux et archi-faux. Elles entreprendront d'une autre manière, chercheront à concilier vie professionnelle et vie privée, auront une approche de la relation humaine et de la relation commerciale différente de celle des hommes. Par ailleurs, il est courant que l'entourage émette des réserves sur cette envie, ce qui peut couper les ailes. Entreprendre, pour un homme, c'est normal. Pour une femme, c'est "attention! ". L'idée d'entrepreneuriat est valorisée pour un homme et craint pour une femme. " Comment agit l'Adie pour lever ces freins? "Nous organisons des événements où des femmes qui ont monté leur entreprise témoignent, pour faire prendre conscience aux autres que c'est possible.
Il pourrait ne pas avoir conscience de ce qu'il fait, mais c'est bon signe s'il le sait [14]. Si vous le surprenez à le faire, essayez de lui faire un compliment, par exemple: « j'aime beaucoup ta coiffure. C'est vraiment classe! » ou alors « tu as une belle barbe. Je peux la toucher? » Observez ses gestes de la main pendant qu'il parle. S'il fait des gestes de la main pendant qu'il parle, cela indique qu'il est sûr de lui tout en signalant que vous pourriez l'intéresser. Si vous remarquez qu'il fait de grands gestes de la main, c'est comme s'il vous disait: « regarde-moi! » il pourrait le faire pour s'assurer que vous le remarquez [15]. Essayez d'imiter ses gestes de la main en vous servant des vôtres pendant que vous lui parlez, mais seulement si vous le faites aussi d'habitude. N'essayez pas de bouger vos mains si ce n'est pas quelque chose que vous faites d'habitude. Prêtez attention aux contacts physiques subtils. S'il vous touche de manière subtile, cela pourrait indiquer que vous l'intéressez.